Le chapitre qui suit figurait dans de la première édition d’Une invention nommée Jésus et je l’ai supprimé par la suite. Ce chapitre est consacré aux pressions que la hiérarchie catholique peut exercer sur les chercheurs qu’elle emploie. Vous verrez un spécialiste de premier plan dévoué à la vérité de l’Église au détriment de la vérité historique.
Certes, la partialité de Pierre Grelot est choquante mais il ne s’agit pas d’un argument contre l’existence de Jésus. Un spécialiste partial peut avoir raison. C’est pourquoi ce chapitre qui figurait dans la première édition d’Une invention nommée Jésus ne figure pas dans la seconde (voir ici).
Ce chapitre a cependant sa place dans le présent blog consacré aux compléments. Le voici :