De la liberté du chercheur catholique

Le chapitre qui suit figurait dans de la première édition d’Une invention nommée Jésus et je l’ai supprimé par la suite. Ce chapitre est consacré aux pressions que la hiérarchie catholique peut exercer sur les chercheurs qu’elle emploie. Vous verrez un spécialiste de premier plan dévoué à la vérité de l’Église au détriment de la vérité historique.


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Les spécialistes sont-ils partiaux ?

Contester l’existence de Jésus ne va pas de soi. En témoigne cette réaction :

« Ah mais j’hallucine !!

J’avoue, j’ai pas lu ce bouquin, rien que le titre m’a fait faire un bond […] Et là voir un type qui écrit que Jésus a tout du mythe alors que pratiquement tous les universitaires s’accordent à dire qu’il a existé… Nan ça ne passe pas. »[1]

Il s’agit de l’argument d’autorité : les savants reconnus ont raison. Cet argument n’est pas recevable. Même le plus grand savant peut se tromper. Celui qui détient l’autorité n’est pas dispensé d’argumenter.

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